☾ MESSAGES : 11 ☾ CELEBRITE : phoebe tonkin.☾ AGE : vingt-trois ans. ☾ SITUATION CIVILE : célibataire. ☾ METIER : agent de police.
je suis une humaine
Sujet: (m/libre) au choix Sam 17 Aoû - 10:48
Allie Oswald. Le lien est expliqué en détail dans ma fiche, bonne lecture (a)
Spoiler:
☍ god bless the innocent.
« TU ME FAIS TOMBER ÇA ET JE T'ARRACHE LES YEUX POUR LES DONNER À BOUFFER À UN CHIMPANZÉ ! » « ET TU LE TROUVE OÙ TON CHIMPANZÉ AU MILIEU DU CANADA ? » « PAS BESOIN DE CHERCHER BIEN LOIN J'EN AI UN SOUS LES YEUX ! » J'esquivais le coup de genou dirigé vers ma poitrine et me planquais dans un coin pendant que mon chameau de frère soulevait mon précieux bien pour le porter jusqu'à mon petit bureau. « Tu sais, je comprend toujours pas comment tu as persuadé papa et maman de te laisser garder ce truc. De toute façon ce qui me surprendrait encore plus c'est que tu arrives à t'en servir. » Je m'approchais de l'appareil en me frottant les mains, je devais surement avoir de vrais étoiles dans les yeux et pour cause : je possédais mon propre microscope ! « T'occupe. Oncle Barney m'a montré comment m'occuper de tout ça. » J'ignorais la grimace de mon très cher grand frère à la mention de mon oh combien aimé oncle. Oncle Barney c'était un peu le tabou de la famille, le seul des Oswald qui ne va pas à l'église le dimanche. Le comble de la honte selon ma mère, moi je trouve juste qu'il est le plus intelligent de nous tous. Après tout même dieu le septième jour a prit un congé pour pouvoir pioncer jusqu'à midi, mais quand j'ai essayé de l'expliquer à ma mère elle n'a pas semblé convaincue. Enfin bref quand oncle Barney m'a demandé de le suivre dans sa remise (la "remise" désignant le bric à brac que contenait son garage, mon oncle récupérait tous les appareils cassés ou défectueux et ils les réparaient pour les revendre encore plus cher) je l'ai suivi sans broncher m'attendant à subir un long discourt sur sa dernière trouvaille de mixeur à légume, pour une fois j'étais bien heureuse d'avoir tord ! « Tu feras ça en rentrant, parce qu'on part dans six minutes et peigne-toi un peu sinon tu sais ce que maman va dire. » Je le chassais dehors et une fois seule je me passais rapidement une main dans les cheveux, on était dimanche le jour du seigneur, alors je portais ma longue jupe rose (ROSE ! Cette couleur est complètement inutile, mais hélas c'est la favorite de ma mère) et je portais des chaussures "décentes", soit des ballerines à motifs floraux. Ma mère les trouve splendides, moi j'ai l'impression que la reine d'Angleterre a gerbé dessus. Et dans quelques minutes je poserais mes jolies fesses sur les bancs lustrés de l'Église du quartier. C'est juste pour la matinée, je vais revenir. Mais j'aimerais tellement ne pas avoir à y aller du tout. Les jupes, les ballerines, les chants, les messes, les discutions autour du thé, c'est pas moi. Pas du tout. Je ne suis pas cette fille, je ne suis pas mon frère qui est un modèle de sainteté d'esprit et de corps comme dirait papa. J'ai peut-être passé trop d'étés avec oncle Barney, il m'a peut-être contaminé avec son "mode de vie inapproprié", mais le problème c'est que j'ai adoré ça. Il m'a ouvert les yeux sur toutes les possibilités qu'offrent le monde et que le seul dieu sur lequel on peut compter c'est celui qu'on a dans le cœur et dans le porte-feuille. Dégage d'ici petite. C'est ce qu'il me dit tout le temps, de changer de vie dés que j'en ai l'occasion. Je ne le prend pas vraiment au sérieux, à force de tout le nespresso qu'il boit il est souvent en sur-dose de caféine. « Allison, on va partir sans toi ! » Oh oui partez. « J'arrive ! » Je passais une main câline sur l'oculaire du microscope, j'allais pouvoir faire tellement de choses avec ça ! « ALLISON ! » Après un dernier regard en arrière je quittais la pièce un discret sourire aux lèvres pour rejoindre mes parents et mon frère, direction l'église. Je dévale les escaliers en trainant des pieds ce qui me vaut un regard désapprobateur du côté de ma mère qui a sortit son tailleur pêche du dimanche. Mon père se tient à sa gauche dans son costume gris, dés qu'il m'aperçoit il commence à partir sans m'adresser un mot, je lui en suis reconnaissante. Néanmoins j'essaye d'afficher une expression joyeuse, le microscope c'était un coup de chance, il y a avait encore une petite chose que j'allais devoir leur demander. Mon prof a réussit à m'obtenir un stage de self-defence cet été, je veux tellement le faire, je ne pense même pas au nombre de choses que je pourrais apprendre. Malheureusement il me faut la signature d'un responsable légal et la "violence gratuite" chez moi c'était aussi bienvenu que de péter pendant la messe. M'enfin tant que je faisais acte de présence aux diners de la paroisse et que je ne leur causais pas d'ennuis ils me laissaient vivre ma vie. La question qui se pose à présent c'est : pendant combien de temps ce petit arrangement va-t-il encore durer ? Contrairement à ce que tout le monde pense, je suis assez connectée à la réalité pour entendre les commérages de ma mère sur moi et le charmant Peter, le fils du voisin, un gars bien selon mon père. Elle me voit déjà mariée avec lui je suis sûre. Elle peut toujours rêver, j'ai juste seize ans. Plus qu'un an Allie, plus qu'un an.
☍ i want to break free (almost two years later). Je posais chaque vêtement dans ma petite valise rouge avec une application militaire, tout doit être parfait. Il n'y a pas grand chose que je souhaite conserver, je pars vers ma nouvelle vie et je vais tout recommencer à zéro. Perdue dans un profond dilemme (prendre ou laisser les maillots de bain ?) je ne l'entendis pas arriver dans mon dos. « Tu ne peux pas partir. » Je ne me retournais même pas. « PERSONNE ne peut m'empêcher de faire ce que je veux ! » « Allison... tu ne peux pas partir avant le mariage. » Je me retournais pour l'affronter à ce moment là, il se tenait dans l'encadrement de la porte, me bloquant le passage. « Tu vois ça c'est une des raisons qui font que j'ai envie de me tirer au plus vite d'ici ! Tu as tout juste 19 ans bordel ! Tu ne sors avec Estelle que depuis six mois ! On dirait que pour toi c'est comme une liste de choses à accomplir, en premier tu rencontres la fille, puis tu deviens son ami, puis son petit-ami et maintenant son mari ? » Je le voyais mâchouiller l'intérieur de sa joue, il sait que j'ai raison. « Papa et maman n'avaient que dix-huit ans quand ils se sont mariés. Estelle est une jeune femme très charmante, elle s'entend très bien avec la famille et la sienne de famille est très respectable. » « Dieu n'existe décidément pas, sinon il ne donnerait pas un cerveau aux gens qui ne savent pas s'en servir. Pour une fois dans ta vie tu peux pas prendre une décision pour toi même ? » « Tu ne comprend rien Allison ! Ici j'ai un futur, une famille, je ne serais jamais seul, je pourrais toujours compter sur quelqu'un. Et toi aussi tu peux avoir ça. Tu suis ta stupide idée de devenir policière alors que papa t'offre une place dans l'entreprise très haut placée de son ami. Et puis où tu vas aller ? Qu'est ce que tu vas faire toute seule ? Tu sais pas c'est quoi d'être seule, tu fais pas le ménage, quand tu fais cuire du poulet il finit noir... » Je soupirais et dissimulais mes mains dans les plis de ma robe, elles tremblaient bien malgré moi. « Je préfère le terme afro-américain » Je pris un temps pour respirer. « Je n'ai rien ici. Si ce n'est une future vie de femme au foyer dans le quartier voisin. Ce n'est pas ce que je veux. Je veux être libre, je veux apprendre, chercher, me tromper, réussir, prendre des risques, VIVRE ! C'est comme ça qu'on apprend à marcher quand on est gamin non ? En faisant beaucoup d'essais, parfois c'est vrai qu'on se ramasse les quatre fers en l'air, mais au final on finit tous par marcher droit. » Je tirais la fermeture éclair de ma valise qui produisit un son strident déchirant la lourde atmosphère de la pièce. « Où tu vas aller ? » Sa voix n'est plus qu'un murmure, il n'essaye plus de me convaincre, il a comprit. Je sens presque une douleur physique quand je comprend que mon frère vient de m'abandonner. « J'ai passé le concours d'entrée à l'école de police, je pars aux États-Unis pour être former et je serais ensuite affectée. » Il fut un temps ou un seul regard sur son visage pouvait me dire tout sur lui, je le lisais comme un livre ouvert, là c'est la figure d'un étranger qui me fait face. Je saisis ma valise et me plantait devant mon frère, du haut de mes super talons je faisais presque la même taille que lui. Je le fixais en brandissant mon bagage comme une massue. « Tu me laisses passer où je me taillade le passage, fais gaffe j'ai regardé Kung-Fu Panda hier soir ! » Ses bras se refermèrent soudainement sur moi comme un piège sur une pauvre souris et pendant un instant je me sentais de nouveau comme une petite fille. Je me dégageais avant de me mettre à pleurer et parvenait à le pousser sur le bord par un petit coup dans les côtes. « Bon zou, j'ai pas le temps pour ça et mon mascara est pas waterproof. » Il rit et je fis semblant de ne pas voir les larmes sur ses joues. « Tu vas me manquer crevette. Appelle quand tu arrives. » « Je le ferais. » Et lui fit semblant de ne pas relever le mensonge dans ma voix. Dégage d'ici petite. « Au revoir. » Je franchis le seuil de la maison sans un regard en arrière, une larme roula librement sur mon visage tandis que je grimpais dans le taxi, direction la vie.
☍ children of the wild ones (now in storm's hill.
Chère Allison, Je sais que tu es policière maintenant, je t'ai retrouvé, enfin. Ça m'en a mit du temps à me décider. Tu ne peux pas savoir comme je m'en veux. Mais quelque chose est arrivé et je dois absolument t'en parler. J'ai vu quelque chose, à Storm's Hill pendant que je te cherchais. S'il-te-plait n'ignore pas cette lettre. Il faut que tu partes de cette ville, tu n'es pas en sécurité. Pars. Si tu ne me crois pas, rejoins moi dans quatre jours dans la ville d'à côté, j'ai des preuves. S'il te plait, viens, c'est important. Plus que tout. Je t'aime, je t'ai pas oublié crevette; Ton frère.
AU CHOIX AU CHOIX OSWALD
entre 24 et 26
au choix
Calgary (Canada)
Compliqué
Sculpteur de bois/Chasseur
Chasseurs
→ Il est né au Canada dans une famille conservatrice très chrétienne et riche. → Il a toujours fait attention pour correspondre parfaitement aux critères de ses parents même si ces derniers ne lui plaisaient guère. → La personne qu'il aimait le plus au monde c'était sa sœur Allie, mais cette dernière est partit à ses 18 ans poursuivre la liberté. → Sur les conseils de ses parents il s'est marié à Estelle Luneclair l'héritière d'une grande famille respectable. Il l'appréciait mais ne l'aimait pas vraiment, ils se sont séparés quelques mois avant leur mariage. → Il y a quelques temps, elle l'a appelé en plein milieu de la nuit complètement en panique. Cela faisait au moins deux ans qu'ils ne s'étaient plus parler, très étonné le jeun homme s'est rendu chez elle en plein milieu de la nuit. Elle était seule, et blessée, deux grands coups de griffes lui déchiraient le thorax. Elle lui révéla qu'elle l'avait appelé car toute sa famille n'était pas en vie. Il respecta son dernier souhait, elle ne mourut pas seule. → La famille Luneclair rentra au matin et la vérité fut révélé au jeune homme, les Luneclair sont une famille de chasseurs de loup-garous. Estelle avait été assassiné par un loup-garou. → Le jeune homme rejoint les hunters pour venger son ex fiancée pour qui il garde certains sentiments. → Il a découvert que la population de loups-garous est en expansion à Storm's Hill, c'est là qu'il se dirige donc et quel est sa surprise quand il y découvre Allison, sa petite sœur !